"Il y a eu une commande très globale par rapport à l’université, celle de pouvoir construire un service qui peut nourrir l’engagement politique, au sens de l’engagement dans la vie de la cité. Nous voulions aussi nous poser les questions des freins à cet engagement.
Il s’agissait aussi de savoir sur quelles traditions nous pouvions compter pour construire des actions, des projets répondant aux difficultés liés à l’individualisation, à la perte de confiance des gens dans leur propre capacité à changer quoi que ce soit dans leur environnement."
Julian Mierzejewski, Chef de projet de l’Université Populaire de Grande Synthe